Description
LADY KILLER - TED BUNDY est catégorisé dans BANDES DESSINÉES / ALBUMS / HISTORIQUE en vente chez l'Imaginaire, un magasin-boutique et un site web spécialisé.
Éditeur :
GLÉNAT (GROUPE)
Auteurs : STÉPHANE BOURGOIN
ISBN : 9782344034880
Langage : Français
Type de livre : HISTORIQUE
Auteurs : STÉPHANE BOURGOIN
ISBN : 9782344034880
Langage : Français
Type de livre : HISTORIQUE
SKU: 9782344034880
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| Yohan P. | Signaler ce commentaire |
| 23/04/2021 | |
| Un récit qui fait peur | |
| Pas le meilleur à livre avant de dormir mais malgré tout, Stéphane Bourgoin réussit bien à raconter la triste histoire de tous les meutres que ce tueur en série à commis... | |
| MERCIER P. | Signaler ce commentaire |
| 22/05/2021 | |
| LADY KILLER - TED BUNDY | |
| Dans cette excellente série, M. Stéphane Bourgoin consacre un nouvel opus à l'un des pires tueurs en série à avoir sévi aux États-Unis au cours des années 1970, Ted Bundy. Sans jamais tenter d'excuser les crimes abominables, tous perpétrés contre de jeunes femmes, les auteurs se penchent d'emblée sur la jeunesse de Theodore Robert Bundy (1946-1989). Né d'un père inconnu, Bundy naît à Burlington, au Vermont, d'une famille de la classe moyenne. Passant une jeunesse en apparence normale, Bundy présente très tôt des traits de personnalité anti-sociaux. Normalement calme, il pouvait se transformer très rapidement en une véritable bombe émotionnelle. Bien que sa période d'activités criminelles s'étende officiellement de 1969 à 1978, il est fort probable que la carrière criminelle de Bundy ait débuté bien plus tôt. Cette bande dessinée ne relatant que les crimes avérés de Bundy, ce qui est tout-à -fait pertinent de la part des auteurs, j'ai déjà vu, dans un documentaire, que le jeune Bundy, alors âgé de seulement 14 ans, en 1961, soit l'auteur de la mort d'une fillette de six ans sa cadette, Ann Marie Burr, qui se rendait régulièrement chez la tante de Bundy pour y recevoir des leçons de piano. Beaucoup de gens avaient remarqué, y compris la tante de Bundy, que le garçon semblait s'intéresser beaucoup à cette jeune fille. Puis, un beau jour, celle-ci a disparu, sans que quiconque ait retrouvé sa trace. Par la suite, à bord de sa voiture coccinelle, Bundy a parcouru pas moins de neuf États pour y assouvir ses pulsions sadiques envers de jeunes femmes. La bande dessinée, structurée, comme à l'habitude dans cette série, sous la forme d'une entrevue menée par un criminologue français, Étienne Jallieu, avec le tueur, le récit est ponctué de longs flash-backs, pendant lesquels Bundy relate sa version des faits qui lui sont reprochés. Ce procédé accorde donc une grande place au discours du personnage Bundy. Le dessin, signé par scietronc Rafael Ortiz, par le choix des couleurs, bleu lorsque le tueur passe à l'action, ainsi que par l'expression du visage du tueur lorsqu'il commet ses crimes, confère au récit une touche expressionniste qui accentue le caractère sordide des féminicides perpétrés par le «lady killer». Aussi, à la fin, un excellent dossier, émaillé de nombreuse photographies d'archives, vient compléter le portrait «fascinant», mais oh combien dérangeant, d'un homme intelligent (QI de 132), charismatique, séducteur, manipulateur et meurtrier compul |
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